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La réponse est gratuite et il n'y a aucun engagement :

Que se passe-t-il avec l’assurance vie lors du décès du titulaire ?

Tous les écrits relatifs à l’économie et à la gestion d’un budget familial s’entendent sur un même conseil : l’épargne est une démarche qu’il faut encourager.

La souscription d’un contrat d’assurance vie s’inscrit dans cette optique. En pur produit financier, le dispositif est pensé pour permettre au titulaire d’aborder l’avenir avec plus de sérénité. La seule chose que personne ne peut hélas éviter, c’est le passage de la grande faucheuse. D’où cette simple question : que se passe-t-il avec l’assurance vie quand le titulaire du contrat décède ?

Comment se transmettent les sommes épargnées avec l’assurance vie ?

L’assurance vie n’est pas un contrat monobloc et figé. S’agissant d’un produit à vocation financière, il en existe différentes formules qui rapportent plus ou moins d’intérêts en fonction du niveau de risque que le souscripteur juge acceptable.

Sur le plan de l’investissement, on distingue principalement les contrats dits mono-support et les contrats multi-supports.

Avec les premiers, l’argent mis de côté est investi sur un seul fonds. Le plus souvent, il s’agira d’un fonds en euros engagé sur un marché peu risqué.

De leur côté, les contrats de type multi-supports s’articulent sur plusieurs placements, en mixant des fonds en euros et des fonds exprimés en unités de compte, via des actions, des obligations et autres Sicav. Si cette approche augmente les risques, elle peut naturellement doper les performances.

En matière d’assurance, la vie et la mort sont de curieux voisins.

Parmi les variantes d’un contrat d’assurance vie, il existe une formule dite à capital différé. Elle permet au souscripteur de profiter lui-même de l’argent épargné s’il est en vie à l’échéance du contrat. Pour transmettre les actifs en cas de disparition, il faut le lier à une contre-assurance qui assurera le transfert des sommes au bénéficiaire désigné si le souscripteur décède avant la fin du contrat.

Outre ce contrat de capital différé assorti de sa contre assurance, on peut noter les contrats « vie entière » et les contrats « viagers » qui garantissent également le versement d’un capital ou d’une rente lors du décès de l’assuré.

Comme vous le voyez, il y a plusieurs façons de marier l’épargne et la prévoyance. Vaste et complexe, le sujet mérite une réflexion approfondie et les conseils avisés d’un spécialiste en patrimoine ne sont certainement pas superflus.

Pour conclure, il est utile de noter que l’assurance reste l’un des meilleurs moyens pour transmettre un patrimoine à sa famille, puisque les capitaux transmis par ce canal au conjoint survivant sont exonérés de tout impôt.

Protégez votre famille en lui évitant de payer pour vos funérailles :

Le Guide Complet de l'Assurance Obsèques